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L’implantation dentaire est une procédure plus au moins chère qui demande des soins simples afin de minimiser au maximum les risques d’échec, voici quelques conseils avant de prendre votre décision de pose d’implant dentaire.
Procédures de mise en place préopératoire
Avant l’intervention chirurgicale d’un implant dentaire, une radiologie de la mâchoire doit être réalisée. De plus, plusieurs autres examens, selon le cas, doivent obligatoirement accompagner la radiologie comme le scanner. Ces examens postopératoires servent généralement à déterminer l’état d’ la dentition, la dimension et la structure de l’os pour effectuer ou pas une greffe d’os. Quant à la pose de l’implant dentaire, à proprement parler, elle aura lieu dans le cabinet de votre chirurgien. Sous anesthésie générale ou locale selon le nombre d’implants et l’état physique du patient.
Les soins post-opératoires d’une implantation dentaire
Parmi les soins post-opératoires d’une implantation dentaire touche seulement la cicatrisation. Elle est différente généralement d’une personne à une autre. De la mise en place du pilier dentaire, la cicatrisation de la gencive prend environ 2 semaines. Ce dernier ne doit subir aucune pression durant la période de cicatrisation. Certaines inflammations, douleurs légères ou saignement pourraient survenir au cours de cette période. Afin d’assurer une période de cicatrisation facile, votre dentiste doit vous prescrire des antalgiques pour calmer les douleurs et les effets post-opératoires.
Il est possible de poser plusieurs implants au même temps
Il est souhaitable de poser plusieurs implants dentaires à la fois. Cela vous permet d’éviter les interventions consécutives. Une pose d’implant demande beaucoup de soins, de patience et de temps. Lorsque la situation clinique le permet, il est préférable de réaliser le plus possible de soins chirurgicaux en une séance. L’anesthésie a pour but de faire disparaître la douleur, si elle existe. Il faut savoir que la pose d’implant dentaire n’est pas douloureuse lorsqu’elle est bien menée. L’intervention est quasiment toujours accompagnée et couverte par la prise des anti-inflammatoires et des antibiotiques antalgiques.
On parle d’échec implantaire bientôt qu’un rejet
Il est essentiel de distinguer deux aspects de traitement implantaire : Le placement de l’implant dentaire et la mise en place de la prothèse. L’implant est une vise en titane faisant office d’une racine artificielle qui, par la suite, est connectée à la prothèse. Cette prothèse est la seule partie visible qui ressemble identiquement à une dent naturelle. De ce fait, pour remplacer totalement une dent, il faut au moins deux séances. Une séance chirurgicale de la pose du vise et une autre séance prothétique. En effet, si l’implant ne tient pas dans la mâchoire, on ne parle pas de rejet mais plutôt d’un échec implantaire. Le rejet, au sens médical du terme, est observé par des réactions immunologiques. Or, au contraire, en implantologie, on parlera d’échec pour différentes raisons mécaniques ou infectieuses. Cela est dû principalement à un dysfonctionnement du phénomène d’ostéo-intégration (ancrage de l’implant).
Le coût des implants dentaires
Le coût d’une implantation dentaire dépend de plusieurs éléments. Il est lié à la complexité de l’intervention et de la situation clinique, aux exigences en termes d’esthétique et de confort, à la marque d’implant utilisée et à l’expertise de l’intervention. Contrairement aux bridges, cette opération n’est pas remboursable par la sécurité sociale. Il existe certaines mutuelles qui remboursent partiellement le traitement. Il faut donc se renseigner auprès de votre mutuelle, si vous en avez une. Le remboursement d’une implantation dentaire ne fait pas partie de la réforme de 2020. Cette réforme prévoit de rembourser à 100 % les soins dentaires dont certaines prothèses dentaires.