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Sante et Beaute

Maquillage permanent : comment reconnaître le meilleur pigment à privilégier ?

L’effet octroyé, la qualité et la tenue des résultats restent des éléments essentiels influant sur la décision d’un potentiel intéressé à procéder ou non au maquillage permanent. Les pigments utilisés sont l’un des paramètres permettant d’avoir ou non des aboutissements satisfaisants. Afin d’être en mesure d’évaluer la pertinence d’une intervention de dermopigmentation, voici donc un guide pour reconnaître le bon pigment !

Pigment : c’est quoi au juste ?

Les traitements de maquillage permanent se font par injection de pigments dans la peau afin d’obtenir divers effets. Certes, le terme de pigment est large et il peut désigner différents corps colorés dont la poudre fine et la solution obtenue en ajoutant ces derniers à un liant. La poudre dans sa version brute donne la couleur aux produits cosmétiques tels que le maquillage ordinaire, tandis que la version additionnée à un liant est utilisée dans le maquillage permanent.

En outre, un pigment maquillage comme chez MAUD SHOP est une concoction de liquide coloré que la peau retient durant une période déterminée. Au-delà de la durée, le corps finit par décomposer et absorber le pigment naturellement. C’est ainsi la principale différence entre les pigments de maquillage permanent et l’encre de tatouage. L’encre ne peut pas être décomposée, elle reste donc dans la peau pour toujours, en dépit de la couleur d’origine qui peut ternir et changer.

Trois types de pigments de base

La classification la plus générale des pigments de maquillage permanent se divise en trois groupes selon l’origine de leurs ingrédients de base : à base d’oxyde de fer, inorganique et organique.

  • Oxydes de fer

C’est le groupe de pigments le plus utilisé dans le maquillage permanent. Ils sont obtenus à partir d’oxydes ferriques, auxquels on ajoute de l’eau, de la glycérine, de l’hamamélis et d’autres produits chimiques comme liants. Elle peut être divisée en trois groupes : oxyde de fer jaune, colcothar rouge et oxyde de fer noir qui sont des pigments de base à microlames. En mélangeant ces couleurs de base dans des proportions différentes, on peut obtenir pratiquement toutes les nuances nécessaires à diverses corrections.

Leur plus grand avantage est le fait qu’ils offrent une opacité presque totale. Les utilisateurs attirent toutefois l’attention sur le fait que les oxydes de fer purs, non mélangés, sont sujets à des changements de couleur, à une décoloration inégale et à la migration des pigments.

  • Pigments inorganiques

Les pigments inorganiques sont fabriqués en ajoutant des éléments d’oxyde de fer à d’autres dérivés. On les appelle inorganiques, car ils sont produits synthétiquement à partir de métaux. L’ajout d’oxydes de fer a pour but d’obtenir une couleur solide et une opacité, ainsi que d’élargir la gamme de nuances. Le dioxyde de titane prédomine dans les teintes claires, tandis que les oxydes de fer prédominent dans les teintes plus sombres.

Ils sont non toxiques, insensibles à la lumière et insolubles, ce qui est important pour la prévention de la migration des couleurs.

  • Pigments organiques

Relativement peu d’entreprises produisent des pigments purement organiques, bien qu’il existe encore une large gamme. Le carbone est la base de la chimie organique en général, il s’agit donc essentiellement de dérivés du carbone. De nos jours, toutes les couleurs disponibles sont fabriquées en laboratoire en combinant du carbone avec différentes substances, le plus souvent de l’azote, de l’hydrogène et de l’oxygène. En changeant les ratios, on modifie les couleurs.

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